Les syndicats mal aimés du gouvernement
A moins d’un retour aux négociations et au dialogue, la tension entre les syndicats et le gouvernement ne risque pas de tomber. Miloudi El Mokharek, patron de l’UMT, explique que c’est pour la première fois que le mouvement syndical rencontre autant de difficultés à communiquer avec le gouvernement. Il parle de marginalisation et d’absence de volonté politique d’aller vers la concertation.